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Jamaican Sunrise 2004

Date de mise en ligne : dimanche 15 août 2004 - 89 953 vues


Jamaïcan Sunrise 2004, histoire d’un fiasco



Si l’on savait à quelques jours de l’événement que Kaya Production faisait face à des difficultés, rien ne laissait présager une telle semaine. Annulations en pagaille, organisation erratique, service de sécurité indigne d’un tel événement : rien n’a été épargné aux festivaliers. Et seuls les artistes ont su leur mettre du baume au cœur.

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L’année dernière, en pleine canicule, les gens recherchaient avidement des bouteilles d’eau. Cette année, il suffisait de se baisser pour en ramasser sur la grande scène, vendredi soir. Lorsque le public a réalisé que Ward 21 ne viendrait pas, s’ajoutant à une liste déjà longue d’annulations, les bouteilles et les cannettes se sont amoncelées sur la scène, le tout sur fond de huées. Les festivaliers laissaient exploser toute leur frustration et leur colère après trois jours hasardeux. Dépassée par les événements, la production n’a pu réagir alors que le mécontentement grandissait.

Depuis sa création il y a trois ans, le Jamaïcan Sunrise a attiré de plus en plus de monde, jusqu’à accueillir cette année un nombre impressionnant de spectateurs. Les premières estimations n’ont pas été communiquées, mais le chiffre de 35 000 personnes semble le plus proche. Une foule immense qui requiert des dispositions élémentaires, pourtant absentes. Et les erreurs des éditions précédentes se sont répétées.

Dernier maillon de la chaîne, les visiteurs ont ainsi connu toutes sortes de galères : points d’eau insuffisants, conditions sanitaires trop justes (10 douches, 15 chiottes), tarifs des consommations élevé couplé à une interdiction d’amener ses propres bouteilles… Sans parler d'un service de sécurité particulièrement zélé aux méthodes honteuses. Et surtout, les nombreuses annulations des concerts ont été annoncées au dernier moment, quand elles n’ont pas été tout simplement "oubliées"…


« Jamaïcan Surprise »
Au total, pas moins de sept artistes (sans compter Richie Spice, Ini Kamoze et les Mighty Diamonds promis en remplacement, mais qu'on ne verra jamais) qui ne se sont pas produits, au grand dam du public. A tel point que l’expression « jamaican surprise » s’est répandue sur le site… Pour la plupart des absences, il n’y a pas eu d’annonce faite au public. De quoi même laisser planer le doute du boycott, ce que ne manquera pas d’évoquer la production.
Contactés par téléphone, Kaya Production a tenu à « s’excuser pour les annulations indépendantes de [leur] volonté. » L’occasion également pour eux de réaffirmer que l’absence de Ward 21 était réellement due à un problème d’avion : le groupe serait arrivé avec 2 h de retard à Londres, ratant ainsi sa correspondance pour la France. Selon une rumeur, Ward 21 était booké le même soir à Barcelone. Informations prises, il n’en était rien.

Cette année, on retiendra surtout les prestations convaincantes de Beres Hammond, Ken Boothe, Sanchez, Chrisinti, Cocoa Tea et Admiral T. Peu importe à qui incombe la responsabilité de cet échec global : les festivaliers, artistes et bénévoles resteront les premières victimes d'une semaine hasardeuse. Cette édition 2004 aura donc laissé un goût amer, où la frustration et la déception ont rivalisé avec la colère. Le festival n’était pas terminé que le public se dirigeait déjà vers la sortie. Sera-t-il prêt à revenir l’année prochaine ?

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Article écrit par Sebastien Jobart, Lexxx T. et
Benoit Collin. Ph

Tags : Jah Mason (72), Admiral T (89), Matinda (9), Ken Boothe (71), Beres Hammond (57), Iqulah (13), Lloyd Brown (7), Tippa Irie (8), Sanchez (17), Chrisinti (6), Ginjah (11), Cocoa Tea (58), Junior Reid (45)

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3 août

Date de mise en ligne : 15/08/2004


Jamaïcan Sunrise 2004, au jour le jour


MARDI 3 AOUT :

Alors que l’édition précédente avait souffert des chaleurs estivales historiques, c’est en effet sous un ciel maussade que le site s'ouvre au public mardi 3 août. A peine arrivé à destination, nous apprenons en backstage qu’un risque de tempête sur le Gard annoncé par Météo France pourrait bien fermer les portes du festival avant même qu'il n'ait commencé. Seul le village de stands, de plus en plus conséquent au fil des années, est accessible pour la journée. Les festivaliers peuvent y acheter (une constante dans le festival) des vêtements, disques et babioles, et rencontrer des acteurs du milieu : artistes, sounds, disquaires, medias.


La première soirée ne se déroulera pas sur le site du Jamaican Sunrise. Pour y assister, direction le Mont Cotton, à environ 2 km. Les festivaliers déjà nombreux prennent place dans le Théâtre de Verdure, un amphithéâtre extérieur en pierre. Un décor superbe dans lequel Sky Ark Sound System entame son set, avec son DJ, Rikky Ranking, au micro.

Suit la projection du film de Perry Henzell, The Harder They Come, avec Jimmy Cliff, qui reçoit un bon accueil du public. Mais la conférence très attendue sur le mouvement rasta en compagnie de Iqulah (seul rasta à bénéficier d'un passeport diplomatique) est remise à plus tard, ce dernier étant retenu à Londres.

Sky Ark reprend le contrôle des platines pour finir la soirée tranquillement.


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Article écrit par Sebastien Jobart,
Lexxx T. et Benoit Collin.

4 août

Date de mise en ligne : 15/08/2004


Jamaïcan Sunrise 2004, au jour le jour


MERCREDI 4 AOUT :

C'est le premier jour des concerts. Le temps alterne le bon et le mauvais, tandis que le site se remplit doucement. Les concerts démarrent avec Big Family (avec Baron Black, King Kalabash et Matinda), suivis de M’bi, qui reçoivent un bon accueil. Sael, avec son style particulier et son public féminin s'en sort habilement et reçoit un bon forward, pour un show très correct de moins d'une heure… C'est la mise en bouche.

Danger Zone Sound System prend le relais, comme ils le feront entre chaque show. Leur son, du dancehall kreyol hardcore, a une vibe étrangement agressive, surtout quand on sait qu'ils préparent le terrain pour Ken Boothe, Sanchez, puis Cocoa Tea…


On connaissait la jeune Genie Slick pour son duo avec Capleton sur le titre Baby I Love You, mais c'est sur scène que nous la découvrons. En rodage, elle délivre pourtant une bonne énergie, même si le show reste encore amateur. Après une bonne prestation de 25 mn, elle laisse la place à Chrisinti, venu remplacer Norris Man au pied levé.

Avec sa grande voix au style très soul, Chrisinti ne remue pas les foules, mais effectue une prestation d'une très grande qualité, et ce en dépit de problèmes de lumières.

Il connaîtra son plus gros forward sur False Hype, son duo avec Jah Mason sur le Double Jeopardy Riddim, et quitte la scène après un petit show de 40 mn.

Et qui s'avance ensuite ? Ken Boothe. Le crooner jamaïquain crée la surprise. C’est la première fois qu’il vient en France, mais ce n’est pas la cause de l’étonnement du public : il était attendu le lendemain ! On comprend alors que les Mighty Diamonds, prévus pour pallier les absences de John Holt et Norris Man, passeront finalement demain, prenant la place de Ken Boothe… Les animateurs Richie B et Papito annoncent au passage l’annulation de Marcia Griffith, également prévue le lendemain. Ini Kamoze et Richie Spice sont supposés venir à la rescousse. Aucune information n'est pourtant relayée, ni pour les spectateurs repliés au camping, ni pour ceux qui n'arriveront que quelques jours plus tard, sans se douter de rien. Le manque d'information laissera comme un goût amer… Les fans de Ken Boothe, eux, sont ravis de le découvrir sur scène. Son show, très professionnel, durera une heure. Le temps de chanter ses plus grands succès, avec sa voix chaude et puissante. Le plus gros forward est bien sûr pour Everything I own, son plus grand succès.

Il est presque minuit quand Lloyd Brown, qu'on avait pu voir lors du Marley Heritage Festival en mai, ouvre la scène pour Sanchez. Une demie heure lui suffira pour satisfaire un public réceptif. Lui-même nous confiera plus tard avoir été surpris que le public reprenne ses chansons en chœur. La scène encore chaude, Sanchez déboule. Sa prestation, courte mais irréprochable, donnera même à voir une combinaison avec Loyd Brown pour finir un show enivrant.


S'avance ensuite Iley Dread, le boss du label Kings of Kings. Fidèle au son qui caractérise ses productions, il délivre un roots chaleureux. Mais c'est Cocoa Tea qui s'attirera toutes les faveurs du public. Mêlant habilement ses gros hits incontournables et des titres plus récents, Cocoa Tea prouve qu’il a définitivement plus d’un tour dans son sac et sa prestation puissante enflamme tout le parc Arthur Rimbaud… Il ne quittera la scène qu'à trois heures du matin.

A la surprise générale, deux têtes d'affiche manquent donc à l'appel, mais la soirée reste réussie. Pour le moment, tout le monde est persuadé de voir les Mighty Diamonds, Richie Spice et Ini Kamoze le lendemain sur scène. Pas pour longtemps.


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Article écrit par Sebastien Jobart, Lexxx T. et
Benoit Collin. Ph

5 août

Date de mise en ligne : 15/08/2004


Jamaïcan Sunrise 2004, au jour le jour


JEUDI 5 AOUT :

Le début de cette deuxième soirée de concerts commence plutôt calmement. Le public n’a pas l’air très motivé. La météo est plutôt correcte et les festivaliers prennent leur temps avant de rentrer sur le site. Le parc reste semi vide un bon moment…

Très convaincant, le Sky Ark Sound System joue jusqu'à 21h et laisse la place à l'Harmony House Crew, vite rejoint par Ginjah. Ce jeune singjay prometteur, au style proche de celui de Warrior King, est le petit protégé de Beres Hammond. Sa prestation ravit les spectateurs, surpris par sa venue sur le Sunrise. Il introduit ensuite Beres Hammond. L'une des principales têtes d'affiche de ce festival reçoit le plus bel accueil du public. S'appropriant la scène, il livre une prestation généreuse, alors que la soirée débute à peine. Rentrant sur scène avec Step Aside, Beres Hammond enchaîne ses hits, recevant de gros forwards sur Can’t stop a man et I wish. Il chantera Warriors don’t cry (trop rare en concert) enchainée après They Gonna Talk. L’une des meilleures prestations du festival.

M'bee, accompagné de Soha, a la lourde tâche de lui succéder. Suivis de Little Dan, ils séduisent un public qui commence à s'impatienter. Toujours aucun signe de Richie Spice ni d'Ini Kamoze promis la veille. Pour couronner le tout, les animateurs Richie B et Papito nous annoncent que Jah Mason ne viendra que le lendemain, et qu'il ne faut plus compter sur Richie Spice. Mais ils ont une autre carte à jouer : Tippa Irie. Sa venue in extremis tard dans la soirée permettra de sauver une soirée pleine de surprises. En backstage comme dans le public, la tension devient perceptible.

Malgré des conditions difficiles, on peut saluer la prestation très réussie de Tippa Irie qui a donné un show strictly reggae dancehall, enchaînant tous ses classiques, sans se perdre dans les fantaisies crossover que pourrait lui inspirer son actuel regain de notoriété.


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Article écrit par Sebastien Jobart,
Lexxx T. et Benoit Collin.

6 août

Date de mise en ligne : 15/08/2004


Jamaïcan Sunrise 2004, au jour le jour


VENDREDI 6 AOUT :

La soirée de la veille a fait des émules. Le festival gagne un nouveau nom dans la nuit : le Jamaïcan Surprise. La déception se généralise et personne n'ose croire aux annonces de la production. Parallèlement, le site atteint sa fréquentation maximum : des milliers de personnes, alléchées par l'affiche de ce soir, se sont déplacés pour applaudir Ward 21, Junior Reid et Admiral T.

Le Karukera Sound System entame la soirée avec une belle série de dubplates. Suit le très bon show de Damaniak. Admiral T s'empare ensuite de la scène avec My Band, pour un show court et énergique, quoique d'une intensité moindre que sa prestation à Bercy quelques semaines auparavant. A nouveau il fait monter son protégé Saïk sur scène qui a encore une fois prouvé, à Bagnols, qu'on pouvait bien compter sur lui.

La foule saute, le son résonne, les drapeaux flottent… Mais c’est encore avec inertie que la journée se met en route. Apres des interludes, Iqulah prend la suite et donne un show sans grande vivacité, le public est réceptif mais ne réagit pas trop.

Après une longue attente, Junior Reid fait son apparition. Mais il ne joue pas avec son band attitré, officiellement coincés à la douane. C’est donc My Band (encore eux) qui se chargent de la périlleuse mission. Sans répétitions, et en dépit du talent des personnes sur scène, le show ne fait pas grande impression. Junior Reid chante un medley des ses hits sur un riddim invariable, avant que le band ne finisse sur le Drum Song. Bien vu, Junior Reid a écrit deux morceaux sur ce riddim, et conclut sa prestation sur une meilleure note. L’occasion également de faire la connaissance de ses deux fils (16 et 17 ans). Prometteurs.


Dans l’immédiat, il est minuit et rien ne bouge... Le Sky Ark Sound se charge de faire patienter le public pendant près de deux heures. Le découragement commence à se ressentir : les festivaliers attendent sans même savoir si leur patience sera récompensée. Soudain, ça y est, quelque chose bouge : Jah Mason est arrivé. Prévu la veille, il était en chemin il y a encore une heure, nous apprend-on. Lui aussi ne jouera pas avec son band. Les riddims de ses hits sont méconnaissables ce qui s’entend particulièrement sur le titre My princess gone ou Jah Mason peine à monter dans les aigus. Il rit jaune, s’excuse auprès du public mais rien n’y fait, l’alchimie ne prendra pas. Il quitte la scène après une demie heure de concert.


C’est à l’issue de cette prestation courte et décevante que Richie B et Papito prennent le micro pour annoncer la soirée sounds systems du lendemain : Stone Love et King Tubby’s… Les festivaliers n’en croient pas leurs oreilles. Où sont passés Ini Kamoze et Ward 21 ? C’est l’annulation de trop. Furieuse, la foule réclame les artistes. Des bouteilles d’eaux volent sur la scène, des huées s’élèvent : le public gronde. Et les choses prennent une mauvaise tournure quand un vigile assomme un festivalier qui ramassait une bouteille (version corroborée par plusieurs témoins). Allait-il la jeter sur la scène ? Sans doute. Mais on n'attend pas ce comportement de la part d'un professionnel. Ce qui sera d’ailleurs rappelé au vigile belliqueux par ses collègues : « Si tu ne peux pas te contrôler, ne fais pas de sécurité. »


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Article écrit par Sebastien Jobart,
Lexxx T. et Benoit Collin.

7 août

Date de mise en ligne : 15/08/2004


Jamaïcan Sunrise 2004, au jour le jour


SAMEDI 7 AOUT :

La soirée Sound Systems est la dernière chance pour les festivaliers de repartir avec un bon souvenir du Jamaïcan Sunrise. Stone Love et King Tubby, il faut dire qu’on a rarement vu une affiche aussi attrayante. Et pourtant. Désillusionnés par les événements de la veille, la plupart des visiteurs ont quitté les lieux dans la matinée. C’est devant une foule clairsemée et sous une petite pluie fine que Papito prend les platines dans l’après midi. Sans plus.

Lorsque la soirée arrive, une partie du matériel est déjà démontée. C’est King Tubby’s qui lance les hostilités avec brio, l’animation implacable séduit tous les amateurs du genre.
La sélection de dubplates est impressionnante mais le show souffre néanmoins des mauvaise conditions techniques : trop peu de lumière sur scène et surtout, une restitution sonore difficile à concevoir pour recevoir des sounds systems d’une telle renommée !


Stone Love ne sera pas mieux loti. Jouant leurs sélections avec des CDs, ils souffrent du mauvais son auquel s’ajoute des sauts de CD du plus mauvais effet. Outre les problèmes techniques il faut reconnaître que c’était l’occasion de pouvoir apprécier un bon échantillon de la collection de dubplates impressionnante de ce sound system buldozer, notamment une énorme série sur le Real rock riddim, qui a introduit leur set, le son est propre, les arrangements sont parfaits – le Capleton – Jah Jah city est presque mieux que l’original – du très très bon dubplate tout du long…

Ultime retour de King Tubby, avant que Pepito ne clôture l’événement. Il est près de 2h du matin lorsque les festivaliers quittent le site du festival. Le Jamaican Sunrise 2004 ferme ses portes.


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Article écrit par Sebastien Jobart,
Lexxx T. et Benoit Collin.

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Réactions

Date de mise en ligne : 15/08/2004

51 réactions
Appréciation générale :

j'aimerai connaitre celui ou celle qui signe Padig pour me contacter Padig.com merci

salut a tous ! franchement, j'ai kiffe - j'etais avec mom mari et mon fils de 3 ans - camping sauvage douche sans intimite a mm devant tout le monde la riviere le son pres du camping jusqu'au matin - c'etait ma premiere et j'ai kiffé - ça change de son confort toute l'annee et il faut s'adapter ! c'est vrai qu'il y a eu des trucs bizarres mais bon c'est partout ! vous n'avez pas vu le carnaval antillais a Paris le 2.07.05 !! no comment ! JAH RASTAFARI !

salut à tous,
c un message d'amour, une histoire parmi d'autres...
J'étais au festival 2004 et je cherche un type qui a dansé à coté de moi pendant la prestation d'admiral t notamment...
Je connais rien de lui, sauf il est black, de taille moyenne, ils était coiffé de plusieurs couettes sur la tete facon...
portez vous bien les kiffeurs moi je laisse pas tomber ...

moi je ve juste rajouter ke, ne skwattant pa les champs ni le parking a tente, g appele la hotline avant de venir au cas ou.... et bizarment on ma confirme tous les artistes prevus et on ma mem di ke marcia griffiths et mighty diamonds seraient la le vendredi... c marrant je les ai pa vu, com g pa vu bcp de jamaicains
pi je ve pa dire mais beres hammond en ouverture de soiree pour apres voir d ti groupes pa movai mais telment peu origino, ca fait mal kek part (en bass du dos)
je rajouterai ke la secu etait asssuree par d cono sans respect pour la plupart, zont cru ke ct un concert de la starac...
jen rajoute un coup pour dire ke danger sound system ki hurle kom un chanteur de metal pour annoncer ken boothe ca troue le q, bravo pour le message roots :(
bref on c bien fai niker
boycott du sunrise sans jamaicain ou si peu
tro de foutage de gueule, descrokerie, et de mank de respect o spectateur et aux personnes du park a shop(village reggae) .....
bref tous au ja'sound lan prochain mem si ct pa parfait parfait ct honnete o moins
ou alors aux 20 ans du summer jam

jsui la man jsui la :-)

on t'entend plus respektt tu es déjà en zonzon? c'est vrai que tout n'était pas parfait au JASOUND ( pas assez de sanitaires et douches) mais on sent que les organisateurs ont la vibes. Ce n'est pas grave que le JMS DIPARAISSE il ne représentait pas le mouvement "reggeaphile" ,c'était une machine à faire du fric.Laissez la place à des gens qui ont la foi!

ouai les gars on ce calm!
moi j'aimerai savoir si vraimen kaya est en procét, c'est ce qu'on ma di( pour détournemen de fon et escroqui) pask si c'est vrai les gars l'année prochaine yaura po de jam!

SALUT LES RASTAS!!!
CA à l'air tendu.... NANAR..explique nous ce que tu sais et que nous aimerions savoir!! Nous sommes nous aussi un peu "irrités" de penser que des gens s'enrichissent sur le dos d'artistes Jamaîcains (déjas exploités chez eux) et d'un public qui n'est pas forcément fortuné!! Cette année nous sommes allés au JASOUND à Lézan...L'esprit roots y était, l'organisation a respecté les artistes et le public...rien à voir!! même la sécu....invisible!! Ce qui était déjà loin d'être le cas l'an passé au JMS!...
Allez..à plus...

je fai chier personne mon vieu et jme cache derrier aucun masque mister alors reste zen ma poule

respektt tu en a pas marre de faire chier tout le monde il en a assez avec kaya prod et puis tu n'a pas repondue a bernard sur ton prénon,,,?????
et en plus tu dépose des message a la con en prenant son pseudo d ailleur c esrt LA JUSTICE et pas JUSTICE
JE PENSE QUE LE MOINS SERIEUX ICI C EST TOI ALORS BOUGE DE LA§§§§§§§§§§§§§§§§§§

arrete coco nanar !!!!!

Que dire de plus sur la troisieme edition du jamaican sunrise a part que ce fut une belle et grande escroquerie due a des organisatrices mercantiles. Sachez mesdames que l'on recolte ce que l'on sème, votre voyage en jamaique deux mois avant le festival de Lézan pour repandre le boycottage par les artistes du jasoundfestival vous a clashé!! "Si tuer son prochain" est votre message du rastafarisme, sachez que nous serons nombreux l'année prochaine a boycotter votre festival. De plus, le parcage des exposants dans un soi-disant "village rasta" marque bien le manque de respect que vous avez.
A bon entendeur

ben pas capable de donner son prenom japel pa sa un man ni un supreman desolé

j'ai fais les deux premiers "JMS" .. le premier était terrible.. le second .. ca devenait déjà puant.. les potes avec ki g fais les deux premiers ont été o troisieme .. lol .. bon écho .. dsl pour vous .. on ira voir du coté de l'allemagne lannée prochaine ..


MON PRENON LA JUSTICE ET JE NE SUIS PAS UN MAN JE SUIS SUPERMAN.................PATATE...................
J'ETAIT DANS LE STAFF DU JAMAICAN JAI ETAIT PAYER MAIS PAS DECLARE ALORS QUE CELA ETAIT PREVUS DU COUP J AI LA HAINE CAR CELA VIENS DE ME FAIRE PERDRE MON STATUE D INTERMITENT
EN PLUS ELLES PORTE PLAITE CONTRE NOUS POUR DETOURNEMENT DE FOND ALORS QUE NOUS SOMME BOUGé DANS SON GROS BORDEL POUR QUE LE FESTIVAL AI LIEU

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